7 septembre 2012
Valéry Cahiers I 735
Il faudrait inventer une structure (comme celles inventées par Riemann) dont la connexion fît voir (au moins grossièrement) les appartenances réciproques qui font d’un contenu un contenant et un contenant d’un contenu, puisque je suis dans un monde qui est en moi, enfermé dans ce que j’enferme, produit de ce que je forme et entretiens, – comme mes deux Serpents dont chacun est finalement dans l’autre.
L’imaginable expire par conséquence de la prolongation d’un processus imaginable qui ne peut se poursuivre.
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